Je viens tout juste de retrouver ce billet que j’ai écri en début d’année 2020 et qui, faute de temps, n’a jamais publié. C’est quasiment incroyable comme la vie a changé depuis. Il n’y a pas si longtemps encore, je me noyais littéralement dans mon quotidien, à la recherche d’une bouffée d’oxygène qui ne venait jamais, au figuré du moins. Alors si on m’avait dit à l’époque que, d’une semaine à l’autre, le temps abonderait, pour moi comme pour tout le monde d’ailleurs, jamais je ne l’aurai cru… Poursuivre la lecture
Mieux-vivre
Une jeune auteure dernièrement reçue à l’émission Plus on est de fous plus on lit, en faisant référence à une récente démarche professionnelle, a abordé le concept d’escalade d’engagement. Une notion qui m’était jusque-là étrangère, mais qui n’a pas manqué d’attirer mon attention même si j’étais au boulot et que j’avais franchement d’autres chats à fouetter (j’essaie de me garder informée en travaillant mais j’avoue que, plus souvent qu’autrement, j’abdique et je coupe le son). Bref, elle a mis un nom sur quelque chose que je vis en ce moment et qui éprouve mes nerfs.
Il y a des journées qui me semblent plus ardues que d’autres. Aujourd’hui notamment. Rien d’alarmant, sinon, une succession de petits événements contrariants qui ont forcé un questionnement: étais-je dotée à la naissance d’un bagage de patience prédéterminé qui, une fois épuisé, me conduirait inévitablement et irrévocablement à l’irritabilité (et à arborer une ride du lion prononcée)?